Pink Floyd – Dark Side Of The Moon

Pink Floyd - Dark Side Of The Moon

Le huitième album de Pink Floyd sorti en 1973 et certainement l’un des plus emblématiques de leur discographie.

L’évolution artistique entre Dark Side Of The Moon et les deux précédents albums, Meddle et Obscured By Clouds est impressionnante.

Rien n’est laissé au hasard, de la pochette mythique signée Hipgnosis à la production sophistiquée et aux techniques d’enregistrement d’Alan Parsons. Le groupe livre ici une oeuvre majeure qui dépasse très largement le monde du rock progressif ou celui du rock tout court.

Si la forme est remarquable, c’est bien le fond qui enfonce le clou. Des compositions absolument atemporelles et visionnaires et plusieurs classiques du groupe : « Breathe », « Time », « The Great Gig In The Sky » ou encore « Money » et « Us And Them », les deux singles de l’album.

La musique lunaire de ce huitième album n’a pas pris une ride et le propos est toujours aussi pertinent. Ce n’est pas un hasard s’il s’agit du troisième album le plus vendu de tous les temps, vous l’avez donc déjà très certainement dans votre collection !

Si ce n’est pas le cas et que vous souhaitez découvrir Pink Floyd et/ou que vous vous lancez dans l’aventure du vinyle, Dark Side Of The Moon est un choix tout à fait incontournable tant sur le plan artistique que sur le plan purement sonore. Un classique par excellence ! (même si j’avoue lui préférer deux autres classiques, Wish You Were Here et Animals).

Mon pressage est une réédition française vraisemblablement sortie entre 1979 et 1984 (d’après Discogs et le code PM261).

There is no dark side of the moon really. Matter of fact it’s all dark. – « Eclipse »

11 commentaires sur “Pink Floyd – Dark Side Of The Moon

  1. Un des deux ou trois premiers albums que j’ai écouté durant ma vie (mon père avait la k7 stéréo). Je le connais par cœur, même si comme toi j’ai au final j’ai tendance à lui préférer Wish you Were Here. Depuis, je l’ai aussi récupéré deux fois en CD (la version SACD avec une cover un peu différente + le coffret Immersion). On m’a également offert le vinyle mais je n’ai jamais regardé de quelle édition il s’agissait, il va falloir que je vérifie 🙂

    1. D’après Discogs tu possèdes un pressage original français. J’avoue que je ne prête pas trop attention aux pressages du moment que ce sont des pressages 70’s. Les repress sont souvent plus abordables, la plupart de mes Beatles par exemple sont des repress de 78 mais en état mint, ça me va très bien !

      J’ai eu plusieurs copies de cet album dont l’original français mais j’ai pour l’instant toujours gardé ce pressage dont le disque est en excellent état 🙂

  2. Je n’accorde en général que très peu d’importance au pressage, même à l’année. En priorité, c’est l’album en lui-même qui m’intéresse, le fait que la pochette soit en bon état et le disque lisible. J’accorde encore peu d’importance à la qualité de reproduction (et pourtant je sais que ça peut jouer sur l’écoute).

  3. Je dois avoir une édition française de 1973, mais sans les posters et les cartes « postales » autocollantes ! J’avais accroché les posters sur les murs de ma chambre d’ado à l’époque (vers 74/75) ! Punaise, encore un coup de vieux !!!

    1. Ah oui c’est vrai que je n’ai pas parlé de ça… Je n’ai jamais croisé le poster ni les cartes postales…

      Et puis il y a la version avec le fameux triangle bleu sur le macaron…

  4. Histoire de ne pas tout faire comme les autres (« I’m not like everybody else » avait dit Ray Davies), chez Pink Floyd, je préfère Atom Heart Heart Mother et la bof du film More. Mais bien sur que Dark Side of the Moon est un excellent disque ! Il faut le reconnaitre. Avez vous jeté un oeil sur l’anthologie « Early Years » qui est sortie récemment ? Je me suis payé le volume « Deviation »; c’est intéressant et très bien fait.
    Alain

    1. En même temps, on peut dire qu’il y a un peu pour tous les goûts chez Pink Floyd, entre Piper At The Gates Of Dawn, Wish You Were Here, The Wall ou The Division Bell, il y a de quoi satisfaire un grand nombre…

  5. Je l’ai en effet dans ma collection, mais je ne l’écoute quasiment jamais, sauf « Eclipse » que j’aime bien. Musique d’ascenseur -à mes oreilles, évidemment-, excellente en revanche pour tester sa chaîne Hi-Fi. J’en ai une version live enregistrée à Wembley en novembre 1974, que je préfère nettement.
    En revanche, j’aime beaucoup Animals et j’ai également un petit faible pour Wish You Were Here -surtout le premier titre et le titre éponyme-.

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